Mise à jour
Retrouvez deux fois par semaine des actualités par ici.
Le site est en cours de mise à jour...
Un drôle d'oiseau !
04 mars 2008 à 10h22 par Sapho TohyaEn regardant un vieux Larousse de 1977 sur la planche consacrée aux oiseaux j’ai découvert un oiseau qui porte mon nom : Le Comète Sapho, un colibri.
Le « Sappho sparganura » est un oiseaux originaire d’Argentine de la famille des Trochilidae.
Décidément je suis un drôle d'oiseau !
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Article
18 fév 2008 à 22h39 par Sapho Tohya
La seule créature qui ne veut pas de graisse
Observation sur une espèce animale issue de la Famille des primates. Zoom sur un comportement étrange...
Observation sur une espèce animale issue de la Famille des primates. Zoom sur un comportement étrange...
Dimanche 17 février. Dans la forêt on observe différents types de comportement animal... Les oiseaux ne sont pas très bavards. Et pour cause, le froid mordant en découragerait plus d'un ! Ils préfèrent conserver leurs maigres réserves de graisse en cessant de voler. Les cervidae quand à eux sont cachés dans quelques fourrés, blottis dans les feuillages. Les renards, comme les rongeurs s’abritent sous terre pour se préserver du froid. En bref, tout les animaux semblent vivre au ralenti pour garder leur force, à l’exception d’un : l'homo sapiens sapiens.
Vivant dans un système social très complexe où l'acquisition de réserve de nourriture n'est, dans la plupart des cas, plus un problème, il présente un comportement très inhabituel observable le dimanche. Il s'agit du processus de « dépense de graisse » communément appelé « Sport du dimanche ». Ce procédé consiste à pratiquer une activité physique qui n’a pour seul but que de faire perdre du gras.
Cette surproduction de graisse vient de leur leurs habitudes culinaires avec notamment une production massive de nourriture synthétique à base de lipides et de glucides. L’homo sapiens sapiens en est friand ! Et de façon démesurée… C’est pourquoi, il a tendance à devenir dodu. Conséquence : les critères de séduction semblent avoir changer. Dans leur société, les mâles dominant sont souvent ceux qui sont les moins gras ! Une énigme de l'évolution sur laquelle nos experts se penchent toujours.
Vivant dans un système social très complexe où l'acquisition de réserve de nourriture n'est, dans la plupart des cas, plus un problème, il présente un comportement très inhabituel observable le dimanche. Il s'agit du processus de « dépense de graisse » communément appelé « Sport du dimanche ». Ce procédé consiste à pratiquer une activité physique qui n’a pour seul but que de faire perdre du gras.
Cette surproduction de graisse vient de leur leurs habitudes culinaires avec notamment une production massive de nourriture synthétique à base de lipides et de glucides. L’homo sapiens sapiens en est friand ! Et de façon démesurée… C’est pourquoi, il a tendance à devenir dodu. Conséquence : les critères de séduction semblent avoir changer. Dans leur société, les mâles dominant sont souvent ceux qui sont les moins gras ! Une énigme de l'évolution sur laquelle nos experts se penchent toujours.
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Expostion virtuelle
20 janv 2008 à 20h28 par Sapho TohyaAjouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Science en diffusion
18 janv 2008 à 13h13 par Sapho TohyaCe court métrage s’adresse à un public non scientifique. Il a pour but de remettre en question certaines idées reçues sur les chercheurs, leurs laboratoires et leurs recherches. Le monde de la recherche est de plus en plus fantasmé par le public : séries TV (les Experts), publicités (dentifrices, rasoirs, produits lave-vaisselle), plaquettes de gros laboratoires pharmaceutiques ou pétrochimiques. Ces médias véhiculent des images de labos high-tech éclairés en bleu ou vert, de chercheurs (généralement masculins) impeccables, des recherches toujours fructueuses.Mais qu’en est-il de la réalité ?Bon nombre de laboratoires manquent de budget. Cela se répercute sur les locaux (vétustes) et sur le matériel (pénurie). De plus, très peu de chercheurs trouvent. La majorité font une carrière sans faire de découverte, sans que pour autant leur travail ait été inutile : pour savoir si une voie est mauvaise, il faut la tester. Une réalité, souvent bien loin des images diffusées. Qu’est-ce qui fait que les chercheurs s’investissent autant dans leur travail, se passionnent, malgré les difficultés et le choc de la réalité ?Notre film essaiera de répondre à cette question en utilisant la piste de l’esthétisme de la science par les couleurs.
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Théâtre
08 janv 2008 à 07h30 par Sapho TohyaAjouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Critique
06 janv 2008 à 23h18 par Sapho Tohya
Fanfaronnade au pays des Sages, craintes au pays des roses et des chiffres…
…Ou la suite de la grande Saga de la loi Hortefeux
…Ou la suite de la grande Saga de la loi Hortefeux
Le jeudi 15 novembre, la dite loi est validée par le grand conseil des onze sages mais sous certaines réserves. ..
Libération, le 16 novembre, nous annonce : «Un feu vert au test ADN pour les candidats au regroupement familial prévisible mais une censure des statistiques éthiques pour cause d’anticonstitutionnalité qui a surpris ».
Bilan : les uns fanfaronnent, les autres craignent le pire. Petit tour d’horizon.
Concernant la loi sur le test ADN dans le cadre de regroupement familial, Brice Hortefeux c’est réjoui de l’approbation de sa loi « Le conseil a jugé que le dispositif des test ADN est parfaitement conforme aux principes républicains ». Thierry Marianni auteur de l’amendement contreversé à immédiatement fanfaronné : « On nous expliquait que l’ADN était liberticide, fasciste, dangereux. Il est validé par la Conseil constitutionnel, tous ceux qui m’ont insulté devraient faire preuve d’humilité ». Des propos qu’il devrait modérer car ce n’est pas une victoire totale puisque les sages ont dit « oui mais » nous révèle le Figaro et pour cause. « L’amendement du député a été « toiletté » par les sénateurs » et « enrichi de garde-fous le rendant difficilement applicable car le Conseil a voulu interdire une application systématique de cette procédure ». Une boite Pandore s’était-elle ouverte ? Nous le verrons de la façon dont cette nouvelle loi va être appliquée.
Concernant les statistiques éthiques, les sages l’ont jugé contraire à la Constitution.
Là les choses se corsent. La Loi informatique et libertés dit que les données révélant l’origine ethnique et raciale ne doivent pas être collectées – sauf huit cas d’exception dont les enquêtes à intérêt public or cette nouvelle loi va à l’encontre de cette exception. L’argument de Robert Badinter pour ne pas être en contradictoire avec la loi informatique et liberté est que cette loi n’a pas été soumise au Conseil. Alors que Alex Türk, président de la CNIL, nous dit qu’elle a été validée par le Conseil en 1978. Qui a raison ?
En tout cas, alors que cela rassure les uns, cela fait paniquer les autres. Patrick Simon sociodémographe craint que toute enquête comprenant des données sur l’origine raciale ou ethnique des personnes ne devienne impossible. Les chercheurs français travaillant sur les discriminations sont perplexes et inquiets face à l’impact que pourrait avoir la décision du Conseil sur leur notoriété internationale. Une peur démesurée ? Au final les uns jubilent et les autres s’inquiètent et personne ne sait où l'on va.
Libération, le 16 novembre, nous annonce : «Un feu vert au test ADN pour les candidats au regroupement familial prévisible mais une censure des statistiques éthiques pour cause d’anticonstitutionnalité qui a surpris ».
Bilan : les uns fanfaronnent, les autres craignent le pire. Petit tour d’horizon.
Concernant la loi sur le test ADN dans le cadre de regroupement familial, Brice Hortefeux c’est réjoui de l’approbation de sa loi « Le conseil a jugé que le dispositif des test ADN est parfaitement conforme aux principes républicains ». Thierry Marianni auteur de l’amendement contreversé à immédiatement fanfaronné : « On nous expliquait que l’ADN était liberticide, fasciste, dangereux. Il est validé par la Conseil constitutionnel, tous ceux qui m’ont insulté devraient faire preuve d’humilité ». Des propos qu’il devrait modérer car ce n’est pas une victoire totale puisque les sages ont dit « oui mais » nous révèle le Figaro et pour cause. « L’amendement du député a été « toiletté » par les sénateurs » et « enrichi de garde-fous le rendant difficilement applicable car le Conseil a voulu interdire une application systématique de cette procédure ». Une boite Pandore s’était-elle ouverte ? Nous le verrons de la façon dont cette nouvelle loi va être appliquée.
Concernant les statistiques éthiques, les sages l’ont jugé contraire à la Constitution.
Là les choses se corsent. La Loi informatique et libertés dit que les données révélant l’origine ethnique et raciale ne doivent pas être collectées – sauf huit cas d’exception dont les enquêtes à intérêt public or cette nouvelle loi va à l’encontre de cette exception. L’argument de Robert Badinter pour ne pas être en contradictoire avec la loi informatique et liberté est que cette loi n’a pas été soumise au Conseil. Alors que Alex Türk, président de la CNIL, nous dit qu’elle a été validée par le Conseil en 1978. Qui a raison ?
En tout cas, alors que cela rassure les uns, cela fait paniquer les autres. Patrick Simon sociodémographe craint que toute enquête comprenant des données sur l’origine raciale ou ethnique des personnes ne devienne impossible. Les chercheurs français travaillant sur les discriminations sont perplexes et inquiets face à l’impact que pourrait avoir la décision du Conseil sur leur notoriété internationale. Une peur démesurée ? Au final les uns jubilent et les autres s’inquiètent et personne ne sait où l'on va.
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Interview
06 janv 2008 à 23h18 par Sapho Tohya
Interview de Patrck Javault, conservateur, responsable de la programmation de l’auditorium du Musée d’Art moderne et contemporain de Strasbourg
Pensez-vous que l’Art est un travail ? Si oui, comment expliquez-vous le manque de reconnaissance sociale ?
Oui, c’est un travail. Mais on peut aussi être un artiste sans travailler. Les deux attitudes sont possibles. Avant d’être un statut social, être artiste c’est une position, une envie. Après seulement rentre en ligne de compte la reconnaissance du Public.
La reconnaissance sociale vient, je pense, quand l’artiste est connu et vend cher.
L’Art est dépendant du marché et c’est le marché qui détermine la reconnaissance d’un individu donc d’un artiste. Un artiste dépend énormément du succès commercial plus qu’un écrivain ou qu'un musicien.
La difficulté est de séduire un collectionneur qui a du poids et de l’influence. Mais il faut aussi avoir cette ambition d’éclairer les gens, de les réunir autour d’une idée.
Je ne suis pas convaincu de mettre en avant la reconnaissance sociale. Etre artiste c’est prendre le risque de ne pas être reconnu socialement, méconnu. Mais aussi de devoir parfois trouver d’autres façon de subsister car la voie artistique n’est pas toujours la plus facile.
Mettre en avant cette notion de travail : oui et non.
On a souvent l’impression d’une mauvaise conscience. « C’est un vrai travail que je fais ». Cette position de ne pas travailler dans un bureau. Nous, nous sommes les intermédiaires, on se greffe sur les artistes. Les artistes créent aussi des emplois.
L’artiste a-t-il une place privilégiée dans la société ?
Pas en France. Il n’y a pas d’artiste à dimension populaire, de figures auxquelles le public s’attache. Même les artistes officiels sont loin d’avoir une vraie reconnaissance institutionnelle. Daniel Buren par exemple n’est pas quelqu'un qui est connu de tout le monde et qui passionne les foules. Privilégié oui, quand on arrive à bien vendre ses œuvres, mais l’image de l’artiste n’est pas excessivement forte aujourd’hui. Ce qui est fort c’est l’exposition, le secteur culturel. Aujourd’hui Il n’y a plus de figure emblématique comme à une époque, Dali.
Afin d’avoir une lisibilité dans la société faut-il être un commercial avant d’être un artiste ?
C’est peut-être pas commercial, mais un artiste se doit d’avoir une stratégie artistique. Etre artiste c’est d’une façon ou d’une autre, c’est savoir parler de son travail, faire les bon choix. C’est une position d’affirmation, c’est ça une stratégie artistique. Ce qui me frappe aujourd’hui c’est qu’on est beaucoup plus dans l’identification et la reconnaissance de choses que dans la vraie interprétation.
L’Artiste doit-il être prétentieux ?
Oui. Il doit être prétentieux. Même dire « personne ne m’aime, personne de me comprend » c’est être prétentieux. Personne ne vous force à être artiste.
Pensez-vous que l’Art est un travail ? Si oui, comment expliquez-vous le manque de reconnaissance sociale ?
Oui, c’est un travail. Mais on peut aussi être un artiste sans travailler. Les deux attitudes sont possibles. Avant d’être un statut social, être artiste c’est une position, une envie. Après seulement rentre en ligne de compte la reconnaissance du Public.
La reconnaissance sociale vient, je pense, quand l’artiste est connu et vend cher.
L’Art est dépendant du marché et c’est le marché qui détermine la reconnaissance d’un individu donc d’un artiste. Un artiste dépend énormément du succès commercial plus qu’un écrivain ou qu'un musicien.
La difficulté est de séduire un collectionneur qui a du poids et de l’influence. Mais il faut aussi avoir cette ambition d’éclairer les gens, de les réunir autour d’une idée.
Je ne suis pas convaincu de mettre en avant la reconnaissance sociale. Etre artiste c’est prendre le risque de ne pas être reconnu socialement, méconnu. Mais aussi de devoir parfois trouver d’autres façon de subsister car la voie artistique n’est pas toujours la plus facile.
Mettre en avant cette notion de travail : oui et non.
On a souvent l’impression d’une mauvaise conscience. « C’est un vrai travail que je fais ». Cette position de ne pas travailler dans un bureau. Nous, nous sommes les intermédiaires, on se greffe sur les artistes. Les artistes créent aussi des emplois.
L’artiste a-t-il une place privilégiée dans la société ?
Pas en France. Il n’y a pas d’artiste à dimension populaire, de figures auxquelles le public s’attache. Même les artistes officiels sont loin d’avoir une vraie reconnaissance institutionnelle. Daniel Buren par exemple n’est pas quelqu'un qui est connu de tout le monde et qui passionne les foules. Privilégié oui, quand on arrive à bien vendre ses œuvres, mais l’image de l’artiste n’est pas excessivement forte aujourd’hui. Ce qui est fort c’est l’exposition, le secteur culturel. Aujourd’hui Il n’y a plus de figure emblématique comme à une époque, Dali.
Afin d’avoir une lisibilité dans la société faut-il être un commercial avant d’être un artiste ?
C’est peut-être pas commercial, mais un artiste se doit d’avoir une stratégie artistique. Etre artiste c’est d’une façon ou d’une autre, c’est savoir parler de son travail, faire les bon choix. C’est une position d’affirmation, c’est ça une stratégie artistique. Ce qui me frappe aujourd’hui c’est qu’on est beaucoup plus dans l’identification et la reconnaissance de choses que dans la vraie interprétation.
L’Artiste doit-il être prétentieux ?
Oui. Il doit être prétentieux. Même dire « personne ne m’aime, personne de me comprend » c’est être prétentieux. Personne ne vous force à être artiste.
Sapho Tohya Trenkle
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Sciences en Société
03 déc 2007 à 21h45 par Sapho TohyaVoici une serie d'articles rédigés suite à ce colloque...
La science dans la presse.
Mercredi 28 novembre 2007, Colloque sur les Sciences en Société au XXIème siècle à Strasbourg.
Une petite analyse des médias entre amis qui a suscité bien des réactions…
Eric Heilmann, Maître de conférences d’histoire et épistémologie des sciences et techniques à l’Université Louis Pasteur de Strasbourg, a proposé une petite analyse des médias sur la place des sciences dans la presse nationale. Pour ce faire il a choisi une date : Le 18 octobre, date choisie totalement au hasard et sans actualité scientifique majeure. Un tour d’horizons à travers 3 quotidiens nationaux : Libération, le Monde et le Figaro.
Résultats : « le Figaro, 7 articles, 2 brèves ; le Monde : 2 accroches, 4 articles, 1 brève,1 publicité et Libération : 5 articles et une rivière de brèves. » Une grande variété de genres journalistiques, de sujets et de rubriques. La science est partout et est toujours d’actualité malgré les rumeurs d’une science mal aimée du public.
Analyse intéressante mais qui n’a pas fait l’unanimité. Le public qualifiera sont choix de journaux « d’élitiste » et son analyse « biaisée ». Analyse est un grand mot puisqu’il s’agissait juste d’un échantillon pour un jour dans la presse nationale. Une présentation qui a fait non seulement débat pendant le colloque mais aussi pendant les nombreuses « pauses café » du colloque.
Bilan : Le public ne pouvait pas recevoir une information sans faire de grande réflexion et débat dessus. Concrètement, d’après eux, ces conclusions ne sont pas recevables sans une analyse sur des années et tout type de presse. Mais on pourra constater que le public, aussi critique soit-il, n’était pas expert en presse. En effet il ne fait pas la différence entre un journal écrit par de vrais journalistes ayant une carte de presse et des revues financées uniquement par la publicité telles que 20 minutes ou Metro… Moralité, on ne critique pas ce qu’on ne connaît pas…
Sapho Tohya Trenkle
Communication sur les dons d’organe
Jeudi 29 novembre 2007, Colloque sur les Sciences en Société au XXIème siècle à Strasbourg.
Jeudi 29 novembre 2007, Colloque sur les Sciences en Société au XXIème siècle à Strasbourg.
Christiane Debs, chargée des relations extérieures et de la presse de l’Association des Dons d’organes et Transplantés (ADOT) nous a présenté les missions et les objectifs de leur association. Tout d’abord il est à noter que cette association a été reconnue d’utilité publique et du coup, jouit d’une certaine notoriété publique.
La situation actuelle en France est la suivante: 12 500 personnes attendent aujourd’hui un organe. Une situation difficile pour ces personnes dont la vie dépend souvent d'un don d’organe.
Le but de l’association est de communiquer sur le don d’organe, surtout face à la connotation négative que suscite parfois ce sujet. Elle désire dialoguer plus avec le public, avec pour objectif le respect de l’éthique. L’information auprès du public doit se faire aussi bien du point de vue médical, humain, religieux et moral. D’autre part elle est parcimonieuse vis-à-vis des progrès scientifiques car elle essaie de ne pas donner de faux espoirs. La plus grande difficulté réside dans le fait de se mettre à la portée du public. Pour cela l’association a la vocation d’être le trait d’union entre l'avancée scientifique et le public.
Pour communiquer elle dispose de nombreux moyens.
- La vidéo avec la réalisation d’un film publicitaire et des émissions télévisées.
- L’organisation de réunions publiques scolaires et universitaires.
- L’intervention dans des cafés des Sciences, les petits débrouillards et à la fête de la Science ; le but étant d’améliorer la situation actuelle et d’ouvrir l’esprit des jeunes.
- La création de panneaux explicatifs en association avec les Arts décoratifs de Strasbourg.
- Etre en contact avec des juristes pour répondre aux interrogations du public.
Leur credo : Le bénévolat doit être fait avec professionnalisme.
La situation actuelle en France est la suivante: 12 500 personnes attendent aujourd’hui un organe. Une situation difficile pour ces personnes dont la vie dépend souvent d'un don d’organe.
Le but de l’association est de communiquer sur le don d’organe, surtout face à la connotation négative que suscite parfois ce sujet. Elle désire dialoguer plus avec le public, avec pour objectif le respect de l’éthique. L’information auprès du public doit se faire aussi bien du point de vue médical, humain, religieux et moral. D’autre part elle est parcimonieuse vis-à-vis des progrès scientifiques car elle essaie de ne pas donner de faux espoirs. La plus grande difficulté réside dans le fait de se mettre à la portée du public. Pour cela l’association a la vocation d’être le trait d’union entre l'avancée scientifique et le public.
Pour communiquer elle dispose de nombreux moyens.
- La vidéo avec la réalisation d’un film publicitaire et des émissions télévisées.
- L’organisation de réunions publiques scolaires et universitaires.
- L’intervention dans des cafés des Sciences, les petits débrouillards et à la fête de la Science ; le but étant d’améliorer la situation actuelle et d’ouvrir l’esprit des jeunes.
- La création de panneaux explicatifs en association avec les Arts décoratifs de Strasbourg.
- Etre en contact avec des juristes pour répondre aux interrogations du public.
Leur credo : Le bénévolat doit être fait avec professionnalisme.
Sapho Tohya Trenkle
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Le Dragon d'Or des Glaces : 02
07 août 2007 à 22h42 par Sapho Tohya
Suite de cette aventure, voici la colorisation du Dragon…
Tout d’abord, je fais juste les aplats de couleur, pour choisir les gammes chromatiques du sujet.
Ensuite, viennent des ombrages grossiers et très accentués.
Puis j’affine les ombres, et ombrage le sujet écaille par écaille.
Le dessin devenu très sombre, je rehausse le tout de lumière.
Et pour finir, une nouvelle touche d'ombre sur la lumière, pour obtenir un effet plus estompé.
Tout d’abord, je fais juste les aplats de couleur, pour choisir les gammes chromatiques du sujet.
Ensuite, viennent des ombrages grossiers et très accentués.
Puis j’affine les ombres, et ombrage le sujet écaille par écaille.
Le dessin devenu très sombre, je rehausse le tout de lumière.
Et pour finir, une nouvelle touche d'ombre sur la lumière, pour obtenir un effet plus estompé.
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs
Le Dragon d'Or des Glaces : 01
07 août 2007 à 16h43 par Sapho Tohya
Je vous propose de vous faire partager la création d’un projet de très grande envergure :
Le "dragon d’Or des glaces".
Il s'agit d'un dessin intégralement numérique, dessiné à l'aide d'une palette graphique et réalisé sous Open Canvas.
Voici les premiers pas de la réalisation du sujet de ce travail :
Tout d’abord, j’esquisse la pose.
Ensuite je me donne des repères plus détaillés.
Je dessine le dragon en noir et blanc, mais avec peu d'ombrage.
Le "dragon d’Or des glaces".
Il s'agit d'un dessin intégralement numérique, dessiné à l'aide d'une palette graphique et réalisé sous Open Canvas.
Voici les premiers pas de la réalisation du sujet de ce travail :
Tout d’abord, j’esquisse la pose.
Ensuite je me donne des repères plus détaillés.
Je dessine le dragon en noir et blanc, mais avec peu d'ombrage.
Ajouter à :
digg |
facebook |
twitter |
plus de bookmarqueurs